31 janvier 2008
4
31
/01
/janvier
/2008
20:31
Renaud MUSELIER est aujourd'hui victime de nombreuses attaques.
Il faut dire que le 1er Adjoint a de quoi énerver beaucoup de monde.
En 15 ans, il a su s'imposer dans le paysage politique marseillais et a déjà connu une carrière politique que beaucoup lui envie.
Conseiller Général en 1992 (battant l'unique Conseiller Général Front National de France) Député en 1993, 1er Adjoint au Maire en 1995, Secrétaire d'Etat aux Affaires Etrangères en 2002, autant de mandats ou de responsabilités que de nombreux hommes politiques n'arriveront jamais à alligner.
Une seule solution pour ces envieux: le dénigrement
Mais comment en est-on arrivé là?
Son engagement politique remonte à l'époque ou il est étudiant en médecine, pendant les grandes grèves de 1984.
Il s'interesse très rapidement à la politique, poussé alors par le Doyen Maurice TOGA qui vient d'être élu Député.
Très rapidement, grâce à son sens du contact et à son sens du "commandement", il devient délégué national de jeunes RPR.
Il organise avec succès les Universités d'Eté des jeunes RPR à Arles en 1987.
Après le décès de Maurice TOGA, il est élu Secrétaire Départemental du RPR et construit l'Union de la droite ave Jean-Claude GAUDIN avec lequel il remporte la Mairie de Marseille en 1995.
Il est l'auteur de deux rapports parlementaires, un sur la promotion de la musique française et un autre sur l'emploi en zone urbaine.
1er Adjoint au Maire, il prend en charge la très importante délégation de l'emploi et de l'activite économique. Sous son mandat le chomage amorce sa baisse et c'est le début de la reprise de l'activité économique de Marseille, grace notamment à Euroméditerranée qu'il préside.
Réélu en 2001, il prend encore le risque de s'occuper du plus grand dossier de la municipalité: les transports.
Depuis, Marseille a un nouveau tramway et des centaines de vélos en libre service sont à la disposition des marseillais.
A 48 ans, il est devenu l'homme incontournable du présent et de l'avenur de la droite marseillaise.
Sa réussite familiale, professionnelle et politique explique l'animosité et la jalousie de certains.
Ainsi va la vie politique.